La Bible n’est pas un roman à l’eau de rose ! Sombres, violents, choquants, certains textes laissent planer bon nombre de doutes quant à la bonté de Dieu. Jacques-Daniel Rochat revient sur la question.

Porte d’entrée de la Bible, le livre de la Genèse nous fait remonter dans le temps pour creuser les mystères de nos origines. Des textes qui visent avant tout à faire connaître le sens de la présence humaine sur terre.

Auteur de l’évangile qui porte son nom, Jean a également écrit une lettre à son ami Gaïus, dans laquelle il explique que s’ouvrir à l’amour de Dieu n’est pas une question de règles ou de dogmes stériles.

Autant ne pas l’éviter, le Lévitique ! Même s’il regorge de lois, de règles et de prescriptions, son sens symbolique mérite largement d’être mis en valeur.

La Bible, une véritable bibliothèque portative ! Regroupant plus d’une soixantaine de livres, sa rédaction s’étale sur 1’500 ans. Une fresque gigantesque et étonnamment cohérente.

La Bible est étonnamment accessible à tout le monde de nos jours. Avec plus de 1000 chapitres et une rédaction étalée sur plusieurs millénaires, sa lecture peut se révéler passionante…

La Bible, c’est la carte de visite de Dieu ! Il donne son adresse et lance à tout le monde une invitation à venir chez lui.

Certaines bibles contiennent une douzaine de livres supplémentaires : les deutérocanoniques qui signifient « issus d’une deuxième liste ». On les appelle aussi apocryphes, c’est-à-dire « cachés, douteux ».

« Si la Bible n’avait pas pris soin de présenter le Christ à l’avance, il aurait passé inaperçu ! » Pour Jacques-Daniel Rochat, cette présentation du Christ avant sa venue sur terre est l’aspect le plus épatant de la Bible.

Le corps humain est comme une tente qui s’use et qu’il faudra quitter. L’apôtre Pierre vieillissant rédige une lettre qui a la forme d’un adieu. Cette missive ouvre pourtant la porte d’un monde nouveau.